jeudi 30 avril 2009
dimanche 26 avril 2009
FULLMETAL ALCHEMIST: BROTHERHOOD #3&4
Bon alors Dybex compte diffuser toute la nouvelle saison de FMA en quasi simultané de la sortie télévisé au Japon, une première!!!
On aura donc droit chaque semaine à un nouvel épisode.
Voici donc l'épisode 3.
Edit : puis le 4.
On aura donc droit chaque semaine à un nouvel épisode.
Voici donc l'épisode 3.
Edit : puis le 4.
vendredi 24 avril 2009
「ジャーパンFARANDOL」
Bon alors voila, c'est l'histoire d'un mec qui vient de s'acheter un manga au doux nom de Yakitake Ja-Pan!
Il arrive chez lui, il commence à lire le tome un puis emporté par son élan il lit le deuxième qu'il a également acheté, il faut toujours lire deux tomes pour ce faire une idée de la série qu'on lit.
Fin du deuxième tome.
Il soulève la manche gauche de sa chemise, puis regarde l'heure qu'il est.
Vingt-deux heures pile.
Il a pas forcement faim sur le coup mais décide d'aller à la cuisine se faire à manger, il pourra toujours regarder Michiko & Hachin ou encore ToraDora en mangeant.
Il descend le petit escalier biscorné (ça ne ce dit pas mais c'est un chouette mots) qui mène au salon et qui lui même mène à la salle à manger qui elle même mène à la cuisine.
Il ouvre la porte du frigo.
Il la referme.
Il tire sur la porte du placard à pain et, voyant une mauvaise baguette côtoyant un mauvais pain de mie sans croûte et du pain Poîlane repense.
Repense à ce qu'il a lu il n'y pas longtemps.
Il y a moins de deux minutes en vrai, le temps de s'arrêter à la salle de bain pour boire un verre d'eau. Salle de bain se trouvant entre le couloir qui mène à sa chambre et l'escalier biscorné.
Il sort alors deux tranches de mauvais pain de mie sans croûte, un morceau de mauvaise baguette, ni trop grand ni trop petit, pas onze centimètre, pas treize non plus.
Juste douze.
Il tire sur le paquet de pain Poîlane, en sort deux tranches du milieu du pain prétranché, ni trop grande ni trop petite mais quand même plus longue que le bout de mauvaise baguette, et en reposant le paquet aperçoit un de ces paquets de crêpes industrielles en carton au bon goût de mauvaise crêpes qu'on ne trouve pas dans les tavernes bretonne, vous savez, ces crêpes qui sont emballées pliés en quatre et que quand tu la déplie pour la garnir tu te retrouve avec quatre morceaux de mauvaise crêpe où tu ne peux plus mettre de nutella sans en foutre partout.
Il en sort une.
Range le paquet.
Il rouvre le réfrigérateur et sort le beurre, du mauvais jambon blanc en tranche et vendu par quatre pour ce sentir moins seule, et bien sur un bloc d'emmental entamé.
Il sort un couteau pour le beurre et une pelle pour couper le bloc d'emmental en fines tranches.
Et le moulin à poivre.
Il tourne le potard de gauche du four et met celui ci en mode chaleur tournante puis le second pour la température sur deux-cent-dix degrés Celsius soit quatre-cent-dix degrés Fahrenheit.
Il prépare donc ce qui finira par devenir quatre "croques monsieur" aux pains différents.
Un.
Deux.
Trois.
Quatre.
Quatre minutes plus tard la mangeaille est prête à être enfournée dans le gouffre des enfers domestiques.
A peine le temps de revoir pour la cinquième fois un même épisode d'une série d'outre-Atlantique que les croq' sont cuits.
Il décide de nommé ce "plat" farandole de pain numéros moins quatre.
Il part alors en direction de sa chambre en prenant en arrivant dans l'escalier biscorné une cannette de faux schweppes (deux-cent-vingt-trois points au scrabble sans aucun "mots compte triple").
En voyant son assiette il décide de la prendre en photo avec son téléphone portable, qui n'est pas un keitai au doux nom de sh03a, et d'en faire profiter les rares personnes que ça pourrait intéresser...
FIN
Il arrive chez lui, il commence à lire le tome un puis emporté par son élan il lit le deuxième qu'il a également acheté, il faut toujours lire deux tomes pour ce faire une idée de la série qu'on lit.
Fin du deuxième tome.
Il soulève la manche gauche de sa chemise, puis regarde l'heure qu'il est.
Vingt-deux heures pile.
Il a pas forcement faim sur le coup mais décide d'aller à la cuisine se faire à manger, il pourra toujours regarder Michiko & Hachin ou encore ToraDora en mangeant.
Il descend le petit escalier biscorné (ça ne ce dit pas mais c'est un chouette mots) qui mène au salon et qui lui même mène à la salle à manger qui elle même mène à la cuisine.
Il ouvre la porte du frigo.
Il la referme.
Il tire sur la porte du placard à pain et, voyant une mauvaise baguette côtoyant un mauvais pain de mie sans croûte et du pain Poîlane repense.
Repense à ce qu'il a lu il n'y pas longtemps.
Il y a moins de deux minutes en vrai, le temps de s'arrêter à la salle de bain pour boire un verre d'eau. Salle de bain se trouvant entre le couloir qui mène à sa chambre et l'escalier biscorné.
Il sort alors deux tranches de mauvais pain de mie sans croûte, un morceau de mauvaise baguette, ni trop grand ni trop petit, pas onze centimètre, pas treize non plus.
Juste douze.
Il tire sur le paquet de pain Poîlane, en sort deux tranches du milieu du pain prétranché, ni trop grande ni trop petite mais quand même plus longue que le bout de mauvaise baguette, et en reposant le paquet aperçoit un de ces paquets de crêpes industrielles en carton au bon goût de mauvaise crêpes qu'on ne trouve pas dans les tavernes bretonne, vous savez, ces crêpes qui sont emballées pliés en quatre et que quand tu la déplie pour la garnir tu te retrouve avec quatre morceaux de mauvaise crêpe où tu ne peux plus mettre de nutella sans en foutre partout.
Il en sort une.
Range le paquet.
Il rouvre le réfrigérateur et sort le beurre, du mauvais jambon blanc en tranche et vendu par quatre pour ce sentir moins seule, et bien sur un bloc d'emmental entamé.
Il sort un couteau pour le beurre et une pelle pour couper le bloc d'emmental en fines tranches.
Et le moulin à poivre.
Il tourne le potard de gauche du four et met celui ci en mode chaleur tournante puis le second pour la température sur deux-cent-dix degrés Celsius soit quatre-cent-dix degrés Fahrenheit.
Il prépare donc ce qui finira par devenir quatre "croques monsieur" aux pains différents.
Un.
Deux.
Trois.
Quatre.
Quatre minutes plus tard la mangeaille est prête à être enfournée dans le gouffre des enfers domestiques.
A peine le temps de revoir pour la cinquième fois un même épisode d'une série d'outre-Atlantique que les croq' sont cuits.
Il décide de nommé ce "plat" farandole de pain numéros moins quatre.
Il part alors en direction de sa chambre en prenant en arrivant dans l'escalier biscorné une cannette de faux schweppes (deux-cent-vingt-trois points au scrabble sans aucun "mots compte triple").
En voyant son assiette il décide de la prendre en photo avec son téléphone portable, qui n'est pas un keitai au doux nom de sh03a, et d'en faire profiter les rares personnes que ça pourrait intéresser...
FIN
jeudi 23 avril 2009
FULLMETAL ALCHEMIST: BROTHERHOOD
Les épisodes 1 et 2 proposés légalement et gratuitement en vostfr par Dybex. Merci à eux.
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